ÉCONOMIES D'ÉNERGIE : LE CHAUFFAGE AU BOIS.

Aujourd’hui 42% des français se chauffent au gaz et 53% se chauffent avec du fioul ou de l’électricité (1), des énergies fossiles qui coûtent de plus en plus cher. Mais alors quelles solutions s’offrent à vous pour essayer tant bien que mal de limiter l’impact de l’augmentation tarifaire et réduire votre facture de chauffage, sans faire de compromis sur votre confort de chauffe ?

Si on peut, l’idéal est de procéder à des travaux de rénovation énergétique. Le nombre de rénovations augmente, mais parmi les ménages qui estiment devoir faire des travaux, 54% indiquent qu’ils n’ont pas les moyens de les réaliser. Le coût est le principal frein pour passer à l’action !

Sinon, voici quelques “écogestes” recommandés par l’ADEME plutôt faciles à mettre en place et peu onéreux vous permettant d’économiser quelques deniers :

• On règle à la température idéale dans chaque pièce. Ni trop chaud, ni trop froid.
  • 17 °C dans les chambres, LA température qui donne envie de se blottir sous la couette
  • 22 °C dans la salle de bain quand on l’utilise uniquement
  • 19-21 °C dans les pièces de vie : salon, salle à manger, …
• On baisse son chauffage d’1 °C pour réduire la consommation de 7%
• On aère les pièces 5 à 10 minutes par jour tout en prenant soin d’éteindre les radiateurs situés dans la pièce.
• On peut mettre en place des équipements permettant de maîtriser, réguler et programmer précisément son chauffage :
  • un thermostat d’ambiance
  • une sonde extérieure, conseillée pour les grandes maisons et celles à étages, elle permet à la chaudière de réagir avant que le logement ne refroidisse. Pourquoi ? Pour maintenir une température choisie, en s’adaptant aux éléments extérieurs.

A. Pourquoi les tarifs augmentent en 2023 et faut-il s’attendre à de nouvelles hausses en 2024 ?

En 20 ans, le marché de l'électricité a fortement évolué et le prix de l'électricité a beaucoup augmenté. De 50 euros/MWh en début d’année 2021, le prix de gros est passé à 222 euros/MWh en décembre 2021, puis 700 euros au cours de l'été 2022 et pour passer la barre des 1000€ le MWh en 2023. (2)

De 2020 à 2021, les tensions mondiales sur les marchés de l’énergie ont provoqué une hausse moyenne de 18% des prix de l’énergie : 5% pour l’électricité ; 37% pour le gaz ; 41% pour le fioul domestique.

En effet, actuellement les besoins en énergie sont de plus en plus importants, alors même que les stocks d'énergies fossiles sont au plus bas et que les prix ne cessent d'augmenter. Plusieurs causes peuvent expliquer cette situation :

• Une reprise de l'économie rapide et brutale en 2021, sortie de crise sanitaire, provocant une forte consommation d'énergie dans le monde.
• Une pénurie de matières premières, devenues de plus en plus rares.
• Une augmentation des prix de gros des matières premières.
• Un contexte géopolitique particulièrement sous tension à l'est de l'Europe, qui a entraîné une augmentation du prix du gaz et un écroulement des importations de gaz russe.
• Une production réduite d'énergie nucléaire en France l’obligeant à se fournir, elle aussi, sur le marché européen de l’électricité et contribuant à la tension des prix.

La hausse des tarifs de l’électricité

Globalement, les mesures de soutien aux revenus des ménages déployés par l’État dans ce contexte (chèques énergie, bouclier tarifaire…) ont permis de compenser la hausse des prix. Sans bouclier tarifaire, le prix de l'électricité aurait connu une hausse de 74,5%, selon les estimations de la Commission de Régulation de l'Énergie (CRE). Et le prix du gaz aurait subi une envolée de 154% entre janvier 2019 et janvier 2023, soit une hausse de la facture d’environ 200€ par mois en 2023, selon le gouvernement. (3)

Ces mesures ont donc permis aux ménages de sentir assez peu la hausse des tarifs des énergies fossiles.

Mais au 1er août 2023, le prix de l'électricité en France a connu une nouvelle augmentation de 10%. Il s'agit de la seconde hausse en 6 mois après celle de 15% intervenue en février dernier. Soit une augmentation de 25% en l'espace de 6 mois.

La hausse des tarifs du gaz.

La France importe quasiment l’intégralité de son gaz depuis l’étranger. Elle dépendait de la Russie pour 50% de ses importations avant la guerre. La guerre en Ukraine a poussé la France et l’Europe a se tourner vers d’autres fournisseurs ce qui explique en partie les difficultés d’approvisionnement et l’augmentation des tarifs.

Le bouclier tarifaire mis en place en 2021 qui empêchait les opérateurs d’augmenter leurs tarifs de plus de 4% dans un premier temps, puis 15% à partir de janvier 2023, a finalement disparu au 30 juin 2023.

L’année dernière, en plein été, les cours s’étaient envolés, pour dépasser les 300 euros du mégawattheure (MWh). Ils sont aujourd’hui retombés à 38,80 euros, quasiment dix fois moins, mais encore bien au-dessus des niveaux historiques. Dans les années 2010, les cours du gaz oscillaient entre 3 et 12 euros du MWh.

Cette époque, celle d’un gaz abondant et pas cher grâce à l’approvisionnement russe, semble bel et bien révolue.

Les prochaines évolutions vont donc se retrouver sur la facture des clients finaux - la bouclier tarifaire ayant été définitivement levé.

L'impact des variations de prix sur la facture d'un particulier dépendra de son choix de contrat d'énergie. Certains contrats sont liés au prix de référence de la CRE ou suivent les prix de gros de l'énergie, tandis que d'autres offrent un tarif fixe pour une période déterminée, généralement d'un à trois ans. Les contrats à prix fixe protègent contre les augmentations de prix, mais ne permettent pas de profiter des baisses. Par conséquent, au moment de renouveler leur contrat, les particuliers et les entreprises doivent être attentifs aux conditions tarifaires proposées et envisager un changement de fournisseur si nécessaire.

En matière d’économie d’énergie les énergies fossiles ne sont pas très bien vues, mais question écologie, elles ont également mauvaise réputation. Certes le gaz émet 30% de CO2 en moins que le pétrole et moitié moins que le charbon ; il pollue moins l'air ambiant. Mais il reste une énergie fossile, responsable d'environ 22% des émissions mondiales de CO2 en 2021. Sa production génère aussi d'importantes fuites de méthane, gaz ultra-réchauffant.

L’électricité est également très polluante. Sa production compte pour près de 43% des émissions de gaz à effet de serre liées à l'activité humaine dans le monde.

À l’heure actuelle, il est difficile de faire l’impasse sur l’impact environnemental de nos choix en matière d’énergie. Dans le cadre de travaux de rénovation énergétique, l’État incite d’ailleurs les ménages à investir dans des solutions plus respectueuses de l’environnement comme le chauffage au bois. Contrairement aux énergies fossiles, le bois est une énergie qui génère très peu de CO2. Les chiffres parlent d’eux-mêmes.

D’autre part, le chauffage au bois se caractérise par une empreinte carbone neutre. En effet, la quantité de CO2 rejetée lors de la combustion du bois est intégralement compensée par la consommation des arbres au cours de leur croissance.

A. Comment ça marche ?

La pompe à chaleur récupère la chaleur prélevée dans l’air (aérothermie / air-air) ou dans la terre (géothermie) pour ensuite la redistribuer dans un bâtiment. Les PAC aérothermiques et géothermiques réversibles, offrent la possibilité de générer alternativement du chaud et du froid, voire simultanément. Pour fonctionner, la pompe à chaleur nécessite un apport d’électricité.

B. Des économies selon la météo et le type de pompe à chaleur

Les pompes à chaleur nécessitent de l’électricité. Or les prix de l’électricité ne cessent de grimper depuis quelques années. Sa consommation est météosensible. Plus il fera froid, plus la pompe à chaleur air-air aura besoin d’énergie ce qui gonflera la facture.

À l’inverse, la pompe à chaleur géothermique assure des performances élevées et stables sur l’année car la géothermie de surface repose sur la stabilité de la température du sous-sol au cours de l’année.

Coût en électricité d’une pompe à chaleur pour une maison de 80m2 ayant une déperdition de 9000 kWh/an (4) :

• Pompe à chaleur air-air : 630 euros (prix du Kw/h de 0,12 cts, rendement de 170%)
• Pompe à chaleur géothermique : 348 euros (prix du Kw/h de 0,12 cts, rendement de 310%)

⇒ soit entre 2 et 2,5 fois moins cher que l’électricité.

C. Le confort de chauffe de la pompe à chaleur est moindre que le poêle à bois

Son confort thermique est moindre que celui du poêle à bois car la pompe à chaleur réchauffe la pièce par convection (c’est-à-dire par mouvements d’air chaud) - et non par rayonnement et par convection naturelle - ce qui crée des courants d’air. En revanche, la pompe à chaleur permet de gérer les températures « pièce par pièce » et offre la possibilité de climatiser (qui implique bien sûr une consommation électrique en plus).

D. L’installation d’une pompe à chaleur nécessite de l’espace et des travaux

Une pompe à chaleur ne peut s’installer que si vous disposez d’un petit jardin ou d’une cour dans laquelle placer l’unité extérieure de la pompe à chaleur. Il faut l’installer de préférence dans une zone éloignée du voisinage et de vos chambres pour ne pas être incommodé par le bruit.

La pompe à chaleur air-air fonctionne avec un échangeur adossé au bâtiment, ce qui rend l’installation plus facile et rapide que la pompe à chaleur géothermique qui est associée à des échangeurs situés dans le sous-sol, qui nécessitent un terrain adapté et des travaux d’envergure non négligeables.

E. La pompe à chaleur : compter 10 000 à 20 000 euros de budget selon l’installation.

Le prix de l'installation varie en fonction du type de pompe à chaleur choisi et de la région dans laquelle vous vivez. D'autres facteurs peuvent influencer le prix, tels que les travaux de rénovation ou de construction supplémentaires (comme l'isolation) qui doivent être effectués. Le coût d’investissement initial d’une pompe à chaleur est significativement plus élevé que celui d’un poêle à bois. Pour une pompe à chaleur air-air, comptez 10 000 à 15 000 euros. L'installation d'une pompe à chaleur géothermique représente un coût encore plus important ; comptez 13 000 à 20 000 euros selon la profondeur de l’installation.

F. La pompe à chaleur air-air est très peu soutenue par l’État

-> POUR LA POMPE À CHALEUR AIR-AIR

La pompe à chaleur air-air est assez peu soutenue par les différents dispositifs d’aides, car elle permet de réaliser moins d’économies d’énergie que la pompe à chaleur géothermique.

• La prime CEE (Certificats d'Économies d'Énergie) est la principale aide disponible pour la pompe à chaleur Air-Air.
• Pour obtenir un éco-PTZ, l'installation de votre PAC Air-Air ne peut pas être réalisée seule. Votre projet doit donc concerner un bouquet de plusieurs travaux (2 opérations minimum) ou doivent permettre d'améliorer la performance énergétique globale du logement d’au moins 35 %, par rapport à la consommation conventionnelle avant travaux. Votre projet d'amélioration de la performance énergétique de votre logement doit donc impérativement s'effectuer en parallèle d'autres travaux d'économies d'énergie, tels que :
  • la mise en place d'un autre système de chauffage (chauffe-eau thermodynamique ou chauffage d'appoint au bois, par exemple) ;
  • l'amélioration de l'isolation thermique du logement (isolation des combles, des murs…).
• Parce qu’il s’agit d’une solution permettant autant de chauffer que rafraîchir le logement, la pompe à chaleur Air/Air est considérée comme un équipement nécessitant une consommation d’énergie importante, tout au long de l’année. De ce fait, elle n’est pas éligible à l’aide MaPrimeRénov’ versée par l'Anah (Agence nationale de l'habitat), ni au chèque énergie, ni à la TVA réduite à 5,5 %.

-> POUR LA POMPE À CHALEUR GÉOTHERMIQUE

La pompe à chaleur géothermique est éligible à plusieurs aides. Depuis le mois de mars 2023, l’aide à l’installation d’une pompe à chaleur passe à 5 000 €, quel que soit le niveau de revenu. Vous pouvez également prétendre à d’autres subventions pour rénover votre logement.

• Le dispositif de l’éco-prêt à taux zéro vous prête jusqu’à 15 000 € pour l’installation d’une pompe à chaleur.
• En installant une pompe à chaleur dans votre logement, grâce à l’aide MaPrimeRénov’ vous pouvez obtenir - sous conditions de revenus - jusqu’à 10 000€ de prime pour une pompe à chaleur géothermique.
• L’installation d’une pompe à chaleur géothermique vous permet de bénéficier de la TVA à 5,5%.
• La Prime Energie (ou CEE) est une somme versée sous forme de chèque dont le montant équivaut aux économies d’énergie réalisables grâce à vos travaux, et peut avoisiner plusieurs centaines d’euros.

G. La pompe à chaleur : Un système de chauffe peu esthétique et bruyant

En plus de générer du bruit pour le voisinage et les habitants, l’équipement d’une pompe à chaleur est visible à l’extérieur du bâtiment et peu esthétique. À ****l’inverse, en plus d’être silencieux, le poêle à bois est considéré comme un véritable meuble et participe à la décoration et à l’esthétique de votre intérieur.

H. La pompe à chaleur : Un entretien limité mais une réparation coûteuse

Les deux types de pompes à chaleur géothermique et aérothermique nécessitent un entretien annuel très limité et adapté aux seniors. Comptez 200 euros pour une PAC air-air et 250 euros pour une PAC géothermique. Elles ont une durée de vie de 20 ans en moyenne. Les échangeurs géothermiques durent plus de 50 ans avec un entretien réduit et peu coûteux. Mais les composants sont fragiles et la compatibilité entre fabricants est assez faible ce qui rend son coût de réparation élevé.

I. La pompe à chaleur : une énergie renouvelable à nuancer

Le principal inconvénient des pompes à chaleur est qu’elles nécessitent l’emploi de fluides frigorifiques qui se révèlent être de puissants gaz à effet de serre. De plus, l’avantage de la réversibilité peut devenir coûteux et anti-écologique si elle est utilisée abondamment pendant l’été !

A. Le poêle à bois vous fait faire des économies d’énergie

Un poêle à bois vous permet de réduire vos factures d’énergie puisqu’il utilise l’énergie la moins chère du marché : le bois ou le granulé de bois. Les granulés de bois sont un peu plus chers puisque ce sont des produits transformés. Et même si le marché du granulé a été chahuté en 2022 à cause d’une sensation de pénurie ayant entrainé une forte hausse des prix, le chauffage au granulé reste 2 fois moins cher que le chauffage électrique et 10 % inférieur au prix d’un chauffage au fioul. En effet, pour une maison de 90m2 la consommation annuelle de chauffage s’élèverait à :

• 512 euros si vous vous chauffez au poêle à granulés
• 1164 euros si vous vous chauffez au chauffage électrique.(5)

Quant au poêle à bois, si vous l’utilisez en chauffage principal, il faudra entre 5 et 7 stères selon la superficie à chauffer, la consommation de chacun et la température souhaitée, sachant que le prix de la stère de bois s’élève à 100 euros.

C’est donc une énergie de plus en plus compétitive puisque le bois ou le granulé de bois n’a pas besoin du bouclier tarifaire pour lui assurer un prix décent, contrairement au gaz ou à l’électricité. Et il n’est pas impacté par la taxe carbone. Avec la hausse du prix de l’électricité de 10 % au 1er août, le chauffage au granulé est aussi économique qu’une pompe à chaleur, voire plus suivant la superficie du logement. De plus, quelles que soient les conditions climatiques, le chauffage au granulé est efficace contrairement aux pompes à chaleur, qui, par temps froids, peuvent consommer beaucoup d’électricité.

B. Diminuez votre empreinte carbone avec le poêle à bois

-> GRÂCE À SON COMBUSTIBLE

Le poêle à bois a l’avantage d’utiliser une ressource énergétique renouvelable et abondante en France ****: le bois (sous forme de bûches ou de granulés de bois). C’est une filière locale qui profite intégralement à l’économie locale. De plus, le granulé de bois est issu du recyclage car il provient à 100% des sous-produits de bois de l’industrie du bois n’ayant peu ou pas d’autres utilisations (déchets, sciures, coupes d’éclaircie, …). Il ne participe donc pas à la destruction des forêts ni à l’érosion de la biodiversité.

Par ailleurs, à l’inverse des énergies fossiles qui stockent le carbone sous terre et viennent l’ajouter dans l’atmosphère lors de leur combustion, le bois est considéré comme neutre au regard de l’effet de serre. En effet, la quantité de CO2 rejetée lors de la combustion du bois est intégralement compensée par la consommation des arbres au cours de leur croissance.

-> GRÂCE AU FONCTIONNEMENT MÊME DU POÊLE

Le fonctionnement même des poêles à bois - à condition qu’ils soient labellisés Flamme Verte - permet d’atteindre des rendements exceptionnels d’au moins 75%. Chez Aäsgard nos poêles atteignent jusqu’à 95% de rendement.

Le rendement (rapport entre l’énergie produite par le poêle et l’énergie consommée) est un indicateur écologique majeur. Plus il est élevé, plus l’appareil est économe en énergie et donc respectueux de la ressource et de l’environnement.

Pour en savoir plus sur les avantages écologiques des poêles à bois bûches et poêles à granulés.

C. Le poêle à bois offre un confort thermique inégalé

S’il est bien dimensionné par rapport à la surface à chauffer, rien n’égale le confort de chauffe d’un poêle à bois. Ce confort thermique naît de la complémentarité de la chaleur par rayonnement et par convection naturelle. Le poêle à bois offre ainsi une chaleur confortable, constante et durable dans votre logement, quelles que soient les conditions météorologiques extérieures (contrairement aux pompes à chaleur).

Le chauffage au bois vous permet également de réduire l’humidité dans l’air ambiant le rendant ainsi plus confortable.

En revanche le poêle à bois ne chauffe en général qu’une seule pièce de la maison, votre pièce de vie dans laquelle vous passez la majorité de votre temps. Il nécessite d’avoir des chauffages d’appoint pour les chambres et salles de bain.

D. Le poêle à bois est facile d’installation et accessible

Un poêle à bois est facile à installer dans tout type d’intérieur, que vous disposiez d’un conduit existant ou non. ****Il ne nécessite pas ou que très peu de travaux selon la configuration de votre habitat. Par ailleurs, son coût d’installation est bien plus accessible que celui d’une pompe à chaleur. Chez Aäsgard, compter en moyenne (en fonction de l’installation, du modèle choisi, de la configuration de votre habitat) :

• 8500 euros pour un poêle à granulés
• 7500 euros pour un poêle à bois

De plus les aides octroyées par l’État comme notamment Ma Prime Renov’ pour l’installation du poêle à bois sont plus intéressantes que celles d’une pompe à chaleur.

E. Le poêle à bois est vivement soutenu par l’État

Pour financer votre projet de poêle à bois vous pouvez bénéficier d’aides de l’État car vous entreprenez des travaux d’amélioration énergétique de votre logement :

• Grâce à MaPrimeRénov’ - la principale aide de l’État pour la rénovation énergétique - en installant un poêle à bois ou granulés dans votre logement, vous pouvez obtenir - sous conditions de revenus - jusqu’à 3000 euros de prime.
• L’installation d’un poêle à bois vous permet de bénéficier au taux réduit de 5,5 % de TVA. Le taux de TVA appliqué habituellement sur les achats et les travaux est de 20%. Ce taux est voire à 5,5% dans le cadre de travaux améliorant la performance énergétique d’un logement comme l’installation d’un poêle à bois.
• L’éco-prêt à taux zéro, aussi appelé éco-PTZ, est un prêt qui vous permet de financer vos travaux d'amélioration de la performance énergétique de votre logement, dont l’installation d’un poêle à bois. Il vous prête jusqu’à 15 000 € pour l’installation d’un poêle à bois.
• La Prime Energie (ou CEE) est une somme versée sous forme de chèque dont le montant équivaut aux économies d’énergie réalisables grâce à vos travaux, et peut avoisiner plusieurs centaines d’euros.

F. Le poêle à bois est très esthétique et particulièrement silencieux

En plus de fournir un confort de chauffe agréable, le poêle à bois offre également le plaisir visuel du feu et il a l’avantage de s’intégrer facilement dans n’importe quel type d’intérieur. Il se choisit en fonction de ses préférences esthétiques, comme un meuble de décoration à part entière. Les spécialistes disposent d’un large choix de formes, de couleurs et d’habillages pour s’adapter aux intérieurs, aux tendances et à la place dont vous disposez. Poêle à bois design, scandinave, industriel, contemporain ou traditionnel, qu’il soit d’angle ou suspendu vous trouverez le poêle qui vous convient.

Par ailleurs, le poêle à bois bûches est extrêmement silencieux. Le poêle à granulés en fonctionnement diffuse un très léger bruit qui peut s’intensifier en période de grand froid lorsque le poêle est à pleine puissance. En fonction de la gamme du poêle à granulés choisi, la technologie peut être différente, réduisant ainsi le bruit pour un poêle à granulés silencieux (entre 32 et 38 db). N’hésitez pas à demander à votre conseiller une démonstration en magasin.

G. Le poêle à bois doit être entretenu pour durer dans le temps

Pour qu'il conserve ses performances et qu’il dure dans le temps, il est nécessaire d’entretenir votre poêle au quotidien : nettoyer la vitre, vider le cendrier, nettoyer l'habillage ou encore aspirer le réservoir à granulés. Le poêle à bois nécessite également au moins un entretien annuel (incluant ramonage) obligatoire. À titre d’exemple chez Aäsgard l’entretien annuel d’un poêle à bois s’élève à 145 euros et celui d’un poêle à granulés à 195 euros.

En règle générale, un poêle à bois a une durée de vie d'environ 15 à 20 ans et s’il est bien entretenu, vous pourrez prolonger sa durée de vie.

Quant à la réparation, les poêles à bois nécessitent relativement peu de réparation. Les plus courantes sont les joints qui ne sont plus étanches, une fissure au niveau du foyer ou encore les conduits d’évacuation des fumées qui sont bouchés. Chez Aäsgard, tous les produits Aäsgard sont garantis 2 à 10 ans et leur installation 10 ans. Nous assurons le suivi de vos poêles via notre contrat d’entretien qui vous permet gratuité sur déplacements et main d'œuvre.

Pour obtenir plus d’informations sur les différents modèles de poêles à bois, le rendement énergétique d’un poêle à bois, le coût d’un poêle à granulés, les conditions d’une installation fiable, les conseils pour bien l’entretenir, … consultez la rubrique ‘Nos ressources’ du site internet Aäsgard.

SOURCES :